A l’avenir, d’autres preuves que l’ADN seront admises pour obtenir l’autorisation de mettre à mort un loup dominant ayant causé des dommages importants. Le Tribunal administratif fédéral (TAF) a tranché cette question de principe dans un arrêt publié vendredi.
Source : Adaptation des possibilités de preuve pour tuer un loup dominant | Radio Lac