À partir de 2026, les éleveurs pourront tirer sur les loups qui s’en sont pris à leurs troupeaux sans demander d’autorisation préalable. De quoi raviver le débat entre pro et anti loups. D’un côté, des éleveurs satisfaits de voir que l’État prend en compte leurs difficultés face à ces prédateurs, mais sceptiques. De l’autre, des associations de protections déçues, voire inquiètes.