Lors de son déplacement en Aveyron, le Président de la République a pu s’entretenir avec des élus et des éleveurs au sujet du loup. Son avis sur la question est plutôt tranché, avec plus de libertés sur la gestion de l’espèce et moins de place pour le prédateur dans les zones pastorales, ce qui n’a pas été du goût des associations animalistes.